mardi 17 août 2010

L’art et la manière de tromper, mais à qui? Si ce n’est à soi-même!

Avez-vous déjà observé qu’au fil des années, l’esprit de tromperie a posé ses fondements dans la vie des gens et règne de plus en plus dans ce monde insensé.

A tel point que la crainte de faire quelque chose d’erroné, de déguiser une vérité inavouée par peur du qu’en dira-t-on, le respect envers autrui, envers ses parents, son supérieur, son époux/épouse… sont devenus des choses bien désuètes dans notre société. Comme beaucoup disent: «ce sont des choses du passé», et nous vivons un présent où il faut aller à cent à l’heure pour satisfaire ses désirs personnels, la vie est bien trop courte, à quoi bon penser aux autres! Prenons les chemins les plus courts et les plus directs pour arriver à nos fins…. Et cela peu importe les moyens! Nous ne pouvons pas perdre! Ce serait une honte! Que va-t-on penser de nous ? Nous sommes des battants, nous devons être les meilleurs! Attention à tout celui qui veut nous barrer la route de la réussite… il n’a rien à faire sur notre chemin. Ainsi pensent la plupart des gens dans le monde où nous vivons…

Tant et si bien que l’on entend dire là dehors que: «Les grands hommes appellent honte le fait de perdre et non celui de tromper pour gagner.»

Ceci étant: «Le pire danger qu'il y a à tromper autrui, c'est qu'on finit toujours par se tromper soi-même.»

«Ne vous y trompez pas: on ne se moque pas de Dieu. Ce qu’un homme aura semé, il le moissonnera aussi. Celui qui sème pour sa chair moissonnera de la chair la corruption; mais celui qui sème pour l’Esprit moissonnera de l’Esprit la vie éternelle. Ne nous lassons pas de faire le bien; car nous moissonnerons au temps convenable, si nous ne nous relâchons pas.» (Galates 5:7-9)